Justice pour Helene
- jesuishelene
- 1 sept. 2022
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 1 août 2023
Près de 40 000 autocollants Justice pour Hélène ont été distribués! Merci d'avoir participé en grand nombre. 💙💙💙
Mon histoire: Une procureure du DPCP conclut qu’il n’est pas « opportun » d’accuser un homme qui m’a agressé sexuellement malgré qu’elle a admit que les preuves étaient suffisantes pouvoir prouver le crime hors de tout doute raisonnable et que je suis crédible.
Puisque le DPCP refuse d’accuser mon agresseur, je me tourne vers une Poursuite Privée criminelle contre mon agresseur.
Cependant, le DPCP a le pouvoir de faire arrêter la Poursuite Privée en prétextant "L'OPPORTUNITÉ" et ce malgré leurs directives en matière d'agression sexuelle AGR-1 mentionnant : "ce genre de crime doit être sanctionné avec fermeté, pour réaffirmer son caractère socialement inacceptable". Puisque la plainte privée est enclenché dû au refus du DPCP, le pouvoir du DPCP sur la plainte privée le place dans une drôle de position puisque si la plainte privée se solde par une condamnation, cela pourrait nuire à son image, à sa crédibilité et à la confiance du public envers celui-ci.
Qu'est-ce que "L'OPPORTUNITÉ"?
Mon histoire raconté par Améli Pineda du journal Le Devoir
Une rencontre avec Nancy Potvin procureure du DPCP
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