top of page

Mon histoire: Une procureure du DPCP conclut qu’il n’est pas «opportun» d’accuser un homme qui m’a agressé sexuellement, malgré qu’elle admet pouvoir le prouver hors de tout doute raisonnable et que je suis crédible. À la suite de son refus, j’ai multiplié les démarches auprès du DPCP afin qu'un autre procureur révise le dossier. Malgré m’avoir confirmé qu’ils peuvent prouver l’agression hors de tout doute, ses supérieurs ont refusé de faire réviser le dossier sous prétexte de protéger le pouvoir discrétionnaire de la procureure. 

Puisque le DPCP refuse d’accuser mon agresseur, je me tourne vers une Poursuite Privée criminelle contre mon agresseur. Cependant, le DPCP a le pouvoir de faire arrêter la Poursuite Privée, ce qui le place dans une drôle de position puisque si la plainte privée se solde par une condamnation, cela pourrait nuire à l'image et à la crédibilité du Directeur des poursuites criminelles et pénales.

 

Pour cette raison, j’ai besoin de vous, de l’appui du public afin que le DPCP laisse la justice suivre son cours normal.

 

Pour recevoir vos autocollants Justice pour Hélène GRATUITEMENT,

envoyez-moi votre nom et adresse par courriel à jesuishelene@outlook.com et vous les recevrez par la poste.

 

Vous trouverez sur ce site les détails de mon histoire qui a fait la une du journal Le Devoir.

Rechercher
bottom of page